NTIC Factory News
Septembre 2016
Editorial
La NewsLetter de la Factory NTIC du mois d'août a encore connu un beau succès avec 685 lecteurs. Celle du mois de septembre connaît encore une actualité riche, intéressante et variée (à lire d'une traite ou à petites doses pendant le mois d'octobre).
Elle démarre, comme d'habitude par la première rubrique récurrente : les résultats en nombre de ressources, nombre de jours réalisés et performance de la Factory NTIC. Les résultats de l'été n'étant pas encore disponibles lors de la dernière édition, ils figurent dans celle-ci qui comprend donc les résultats du mois de juillet et ceux du mois d'août. (Résultats Eté 2016). Ces résultats restent globalement sur la même tendance qu'au premier semestre pour la Factory NTIC ainsi que pour l'ensemble de la branche BPR.
Autre rubrique habituelle : la communication via Twitter. Après le passage en revue des usages professionnels que peuvent en faire les chargé(e)s de recrutement, les équipes commerciales et les équipes techniques et de 'business development', cette édition est consacrée à la communication faite par les entreprises sur les réseaux sociaux et le rôle d'ambassadeur que peuvent y jouer les salariés . La rubrique reprend également les principaux tweets de Gfi du mois de septembre (Twitter Corner).
Le Midi Technique du mois de septembre était consacré à Docker. La prochaine session aura lieu le 20 Octobre et sera consacrée à Sonar & Co. (Séminaires Techiques - Formation)
Les relations avec les écoles sont un bon moyen de nouer des relations avec les étudiants, potentiels futurs salariés de l'entreprise, pour leur présenter notre savoir-faire, les projets sur lesquels nous intervenons, les métiers proposés... Dans ce cadre, la Factory NTIC 2 de la BPR a été sollicitée pour recevoir la toute nouvelle promotion de l'ISEP. Jacques Le Provost, le responsable de la Factory revient sur cet événement (Quand l'ISEP rencontre Gfi)
Après l'article consacré à l'Usine 4.0 dans la dernière édition, la présentation des offres innovantes que Gfi souhaite développer, s'attache cette fois aux villes intelligentes (Smart City). Comme le mois dernier, cet article permet d'appréhender ce que ce vocable recouvre et de faire un point sur l'état d'avancement de cette offre chez Gfi.
Le concours de développement démarre bientôt. Il reste quelques jours pour constituer les dernières équipes ! Ce challenge est l'occasion de travailler en équipe dans une ambiance conviviale sur un projet innovant, d'acquérir de nouvelles compétences et de tenter de gagner les prix mis en jeu ! (Challenge BPR)
Ça bouge beaucoup à Alicante ! Pour faciliter l'intégration des nouveaux arrivants, une réunion de bienvenue est désormais organisée régulièrement. La première s'est tenue le 14 septembre et sa présentation est aussi l'occasion de pratiquer un peu l'anglais. (Welcome meeting in Alicante)
Suite du feuilleton DevOps : dans ce troisième épisode, François Darphin présente les métiers et les compétences nécessaires dans des projets DevOps (DevOps - Episode 3)
Retour aussi sur les Matinales avec en septembre, une Matinale à Lyon et une autre à Lille. La présence à Lyon est aussi l'occasion de visiter les somptueux nouveaux locaux au bord de la Saône (Matinales)
La dernière rubrique récurrente permet de faire le point sur le pipe commercial (Nouvelles Affaires)
Pour finir, la lettre se termine dorénavant par des archives pour accéder aux éditions précédentes.
Rappelons également que le sondage sur la NewsLetter est toujours à disposition. Le nombre de réponses a un peu augmenté (55) mais reste trop juste, vu le nombre de lecteurs, pour être significatif. De même les différents noms proposés pour la NewsLetter ne recueillent pas suffisamment de voix pour en adopter un. En attendant de recueillir davantage de votes, les remarques continuent à être prises en compte pour améliorer la forme et le fond de la NewsLetter. Les remarques faites donnent lieu à des commentaires au fil de l'eau accessibles dans le document Résultats du sondage.
La note d'ensemble est en légère augmentation à 6,9 sur 10.
Bonne lecture !
Résultats Eté 2016
Effectifs des Factories NTIC Juillet 2016
Les effectifs de la Factory NTIC 1 croissent en Juillet (mais moins vite que les objectifs prévus) avec 360 collaborateurs (17 collaborateurs manquants). La Factory NTIC 2 avec 179 collaborateurs est en retrait par rapport au mois de Juin et en retard de 26 collaborateurs sur le budget.
Au cumul, la BPR compte fin Juillet, 1 567 collaborateurs, soit 23 de plus qu'au budget.
Effectif des Factories NTIC Août 2016
En raison de la sortie des effectifs de Toulouse (qui rejoignent la BU), les effectifs de la Factory NTIC 2 sont en baisse à 172 collaborateurs (soit un écart de 33 collaborateurs par rapport au budget).
Au cumul, la BPR compte fin Août, 1555 collaborateurs, soit 10 de plus qu'au budget.
Jours de production - Juillet 2016
La Factory NTIC 2 reste également en retrait avec 2 646 jours sur le mois et 21 465 jours depuis le début de l'année (retard de 13,3% par rapport au budget, en amélioration par rapport au mois de Juin).
Jours de production - Août 2016
La Factory NTIC 2 reste également en retrait avec 2 494 jours sur le mois et 23 959 jours depuis le début de l'année (retard de 13,6% par rapport au budget, moins bon qu'en Juillet mais toujours en amélioration par rapport au mois de Juin).
Production BPR - Fin Août
Performance de la Factory NTIC - Fin Août 2016
(*) Hors rechiffrage sur projet MJ/ROMEO
En raison des difficultés structurelles rencontrées sur quelques projets fortement déficitaires, les projets de la Factory NTIC2 sont en perte.
Twitter Corner
Les entreprises et les réseaux sociaux
Les articles des éditions précédentes ont montré comment, le « réseau d’informations » qu’est Twitter, permet aux différents métiers d'une entreprise de s'approprier cet outil et de créer des usages au fil du temps.
La majorité des entreprises conserve sur les réseaux sociaux, une approche verticale et descendante, alors même que leur principal intérêt est d’établir des connexions dans toutes les directions, d’autoriser des conversations entre tous les utilisateurs, de faire naître des initiatives auxquelles pourraient prendre part toutes les parties prenantes de l’écosystème de l’entreprise : les clients, les fournisseurs, les partenaires, les salariés... Ainsi, malgré une apparente adoption, cette communication souvent trop « traditionnelle » (Publication d’informations pour les clients, les fournisseurs, les partenaires, les salariés… sans recherche d’interactions avec ces audiences), reste révélatrice d’un manque de réelle appropriation des médias sociaux.
La communication des entreprises sur les Réseaux Sociaux
L’appropriation du réseau d’informations par les salariés peut être double : relayer la parole de l’entreprise à l’extérieur (interaction sortante) et utiliser les connaissances acquises pour faire évoluer l’entreprise, lui apporter de l’innovation (interaction entrante).
Avec les réseaux sociaux, la communication ne peut plus être portée par les seuls départements Marketing et Communication. L’avenir de la communication « corporate » passera probablement par des collaborateurs, véritables ambassadeurs de l’entreprise. La force du message augmente, en effet, avec le nombre de relais. Les messages portés par les salariés sont par ailleurs, perçus comme plus crédibles, moins formatés et donc plus dignes de confiance. La véritable maturité des entreprises sur les réseaux sociaux pourrait ainsi se mesurer au nombre de collaborateurs relayant ses messages et au nombre d’impressions (autrement dit, le nombre de vues) qu’ils génèrent.
Les réseaux sociaux vecteurs de richesse de l'entreprise
L’entreprise profite de la chambre d’écho que lui offrent ses salariés et en même temps s’enrichit des idées innovantes apportées par ses collaborateurs comme l’ont démontré Salvatore Parise, Eoin Whelan et Steve Todd. Dans un article sur MITSloan Management Review, ces trois chercheurs ont étudié de nombreux comptes Twitter et interrogé des salariés de grandes entreprises technologiques pour se demander comment ces informations permettaient aux utilisateurs Twitter de générer de meilleurs idées. La principale conclusion de leur étude est que les employés en contact avec des personnes ayant des idées éloignées des leurs, avaient de meilleures idées et de ce fait étaient plus innovants.
Trois idées forces se dégagent de cette étude :
- Les employés qui utilisent Twitter ont de meilleures idées que ceux qui ne l’utilisent pas.
- Il y a un lien fort entre la diversité du réseau Twitter et la qualité des idées.
- Les utilisateurs Twitter qui sont à la fois des « chercheurs d’idées » (idea scout) et des « connecteurs d’idées » (idea connector) sont les plus innovants.
Des collaborateurs connectés à des réseaux variés augmentent donc la richesse de leur entreprise. De la même manière, ces collaborateurs sont les meilleurs ambassadeurs de leur employeur. Des plateformes en ligne leur permettent de partager ce qu’ils pensent de leur entreprise. Certaines entreprises profitent ainsi largement des recommandations de leurs salariés. Dans le domaine du recrutement notamment, la cooptation reste pour nombre d’entreprises, le moyen le plus efficace et le moins onéreux de recruter de nouveaux collaborateurs.
Les salariés, ambassadeurs de leur entreprise
Nicolas Drain dans un article intitulé « Il est temps d’e-penser » publié le 14 décembre 2015 sur le blog de TalentSoft, remarquait : La « Marque employeur » s’impose comme un élément clé de la stratégie de séduction des entreprises pour attirer les meilleurs talents. Il faut les séduire au maximum lors de leur expérience candidat que ce soit par ses missions futures, l’ambiance de travail ou la renommée de l’entreprise.
La participation active des salariés aux opérations de communication d’une entreprise encore marginale aujourd’hui pourrait créer une dynamique et une implication souvent difficiles à obtenir dans le monde du travail. Un média comme Twitter est un bon moyen pour permettre aux salariés de partager des expériences, de mettre en avant les valeurs de l’entreprise et de relayer des informations permettant de se démarquer de la concurrence.
En retour, les entreprises instituent ainsi une relation forte avec leurs salariés, conservent leurs meilleurs talents, confortent un sentiment d’appartenance, fédèrent les collaborateurs autour d’un projet commun et montrent à leurs clients, leurs partenaires ou leurs futurs employés leur dynamisme et leur engagement.
Si les collaborateurs relayent les informations produites par leur entreprise, ou mieux encore, y ajoutent leurs propres informations, l’image « Digitale » que toutes les entreprises recherchent (et notamment les Entreprises de Service Numérique), s’en trouverait profondément modifiée et pourrait créer une vague de fond bénéfique aux salariés, aux clients et probablement aux actionnaires !
Le potentiel est là. A chaque entreprise de créer les ruptures dans sa communication qui lui permettront de se démarquer de ses concurrents. Aux entreprises à créer des opportunités, aux salariés à les saisir !
Pour aller plus loin...
Les tweets qu'il ne fallait pas manquer au mois de Septembre
Les vacances terminées, la communication et les événements reprennent. Voilà donc un aperçu des principaux tweets de Gfi qu'il ne fallait surtout pas manquer au mois de Septembre :
- Présentation de gfi.world le nouveau site internet de Gfi Suite...
- le point de vue de Yannick Monnier sur les Smart Cities Suite...
- Interview de Béatrice Honnoré (ITN) dans l'Argus de l'Assurance Suite...
- Inauguration des nouveaux locaux à Meudon (avec une partie importante des effectifs de la Factory NTIC en Ile de France) Suite...
- Gfi (via ITN) dans le Jury pour l'attribution des Trophées de l'Assurance Suite...
- Sortie de HandBall 17 sur PS4 avec une jaquette de Thierry Omeyer arborant le maillot sponsorisé apr Gfi Suite...
- Philippe Hémard explique pourquoi la facture électronique est un enjeu stratégique dans le domaine du Secteur Public Suite...
- Gfi en 12ème position du classement des éditeurs de logiciel en France Suite...
- 600 embauches pour Gfi en France au second semestre 2016 Suite...
- Réception des maillots du 20km de Paris : 175 coureurs de Gfi y participent Suite...
- Gfi organise le 15 septembre un petit déjeuner Cybersécurité pour ses clients Suite...
- Vidéo sur l'exigence de l'innovation chez Gfi Suite...
- Vidéo de Alvin Ramgobeen sur le rôle et les bénéfices du Data Lake Suite...
- Ordirope présent au Salon Solutions du Parc de Versailles du 20 au 22 Septembre Suite...
- Etonnante photo d'Axel Anrep, ingénieur commercial Solutions (cf en pastille) Suite...
- Live tweet et Periscope sur les solutions proposées par Ordirope au Salon Solutions Suite...
- Organisation d'un Tchat de Vincent Rouaix le 21 Septembre Suite...
- Live Tweet (près de 50% des tweets du mois émis les 22 et 23 Septembre) durant le Forum du Secteur Public 2016 organisé par Gfi en présence de plus de 600 clients. Le résumé dans un "Storify" Suite...
- Gfi annonce un partenariat avec la société ITrust dans le domaine de la cybersécurité Suite...
- Pierre Gressier, Global Practise Manager Omni-commerce, animera la conférence de l'EBG : "Marketplace : point d'étape et perspectives" le 13/10 Suite...
- Gfi présente Keenaï Report une solution permettant de visualiser en temps réel, la sécurité du système d'information Suite...
- Gfi sera présent aux Microsoft Experiences'16 les 4 et 5 octobre Suite...
Séminaires Techniques - Formation
Midi Technique
Les Midis Techniques interrompus pendant la période estivale, reprennent à la rentrée.
Merci à tous pour votre participation au séminaire du mois de Septembre 2016 consacré à Docker et pour votre avis sur son déroulement.
Ce cinquième midi technique a réuni 35 participants dont une quinzaine à distance (Alicante, Maroc, …).
La conférence web n’a pas connu de problèmes particuliers et les personnes à distance ont pu suivre la présentation efficacement.
Notre sondage sur la diminution de la durée des midi-techniques reste pour le moment en faveur du modèle actuel (2H) pour 65% des sondés.
Le retour chiffré suite à vos avis sur le séminaire :
Les points positifs remontés pour cette session :
- Sujet d’actualité
- Présentation dynamique et explications claires
- Plusieurs démonstrations concrètes
Les pistes d’amélioration pour les prochaines sessions :
- Quelques problèmes techniques (réseau, proxy) ont retardé/limité la présentation
Le prochain séminaire sera animé par Fabrice DAUGAN (merci à lui) et se déroulera le 20/10 sur le thème « Sonar & Co ».
Les inscriptions sont ouvertes dès maintenant et accessibles au sein de notre outil confluence :
https://delivery.gfi.fr/confluence/display/FORM/Midi+Technique
Quand l'ISEP rencontre Gfi...
Les étudiants de l'ISEP en Coupure Pédagogique
Dans le cadre du tout nouveau partenariat de Gfi avec l’ISEP, un groupe de 30 futurs ingénieurs était accueilli le 19 septembre dans les locaux de La Défense.
Rencontrer les grands comptes des services et de l’industrie pour mieux comprendre les métiers de l’ingénieur, est l’objet de la Coupure Pédagogique que propose l’ISEP à ses étudiants de première année et qu’elle voit comme "un pont entre la fin de la classe préparatoire et l’entrée en cycle d’ingénieurs, qui permet à l’élève de se familiariser rapidement avec le monde de l’entreprise et les différents métiers de l’ingénieur. C’est pour lui l’occasion de commencer à penser son projet professionnel".
Ils étaient donc 30 à échanger avec les équipes de Gfi pendant une demi-journée autour du métier de Gfi et des métiers de ses collaborateurs.
Tous mobilisés dans la grande salle de Bellini pour promouvoir l’intérêt du quotidien des équipes de Gfi, les présentateurs ont parcouru les sujets phares :
- Le positionnement de Gfi et son développement,
- les métiers de Gfi et l’apprentissage du Service Numérique,
- l’organisation des projets informatiques et ses grands enjeux.
C’était ensuite au tour des directeurs de projets de présenter leurs projets – dans un mode très interactif - en zoomant sur les défis qu’ils relèvent au quotidien :
- DGAC Altaïr par Christophe Lesage,
- Expertissimo par Patrick Abikhzir
- ASIP RASS par Gwenn Houel.
Les étudiants se sont montrés curieux et très satisfaits de ces échanges leur ouvrant des perspectives concrètes.
Notre nouveau partenariat avec l’ISEP ouvrira d’autres opportunités à Gfi pour renforcer ses liens avec l’école via la dispense de cours par exemple.
Un grand merci à l’ISEP qui a sélectionné Gfi et aux intervenants : les Directeurs de Projets cités plus haut, ainsi que Jacques Le Provost (Directeur de la Factory NTIC2), Agnès Massot (Recrutement) et Sandra Dudemaine (RH)
Pour en savoir plus :
Smart City
Smart City ou Ville Intelligente
Le concept de « Ville Intelligente » ou « Smart City », tel que nous l’appréhendons chez Gfi désigne un ensemble de technologies de l’information et de la communication utilisées pour améliorer la qualité des services urbains, réduire leurs coûts et promouvoir un développement économique et territorial durable.
Il recouvre ainsi des investissements en infrastructures de transports, d'énergie et d’eau, de flux (humains, matériels, d’informations), de télécommunications, de services d’alerte et d’urgence, d'équipements publics, de bâtiments, de gestion et tri des déchets … pour proposer un cadre de vie agréable, facilitant l’inclusion sociale et une gestion avisée des ressources naturelles, au moyen d'une gouvernance participative et d'une utilisation efficiente et intégrée des TIC.
De nombreux acteurs sont parties prenantes d'un projet de Smart City :
- les collectivités, urbanistes et administrations concernés par l'aménagement du territoire et des villes,
les industriels des secteurs de l’énergie, de l’eau, des transports, des réseaux télécoms et infrastructures, les constructeurs intervenant sur l’équipement matériel des villes intelligentes, les intégrateurs et ESN, les éditeurs, fournisseurs de logiciels et les sociétés de conseil
et bien entendu, les citoyens, habitants des villes, les commerçants, les associations, les PME, start-up et entreprises de l’écosystème urbain
Définitions et caractéristiques
Il existe plusieurs façons de classifier les domaines pris en compte dans une ville intelligente. Ainsi, selon Giffinger, elles peuvent être identifiées et classées selon six dimensions principales :
Une « économie intelligente »,
Une « mobilité intelligente »,
Un « environnement intelligent »,
Des « habitants intelligents »,
Un « mode de vie intelligent »
Une « administration intelligente ».
La notion d'intelligence inclut ici les concepts d'efficience énergétique, d'habitat intelligent, de réseaux intelligents et de mobilité douce.
Données collectées par réseaux de capteurs sans fil pour villes intelligentes
S'il fallait trouver un point commun aux différents domaines composants la ville intelligente, la donnée arriverait en bonne position. Souvent, la première préoccupation est de faire des mesures, de disposer de données et de les analyser en continu pour comprendre puis améliorer les usages et les besoins.
Ces données sont nécessaires en permanence, pour s’assurer que les solutions mises en place sont efficientes et pour modifier, en temps réel, les comportements des dispositifs retenu (fluidité du trafic routier, économies d’énergie, simplification des démarches administratives…).
L’accès à ces données se matérialise par des réseaux de capteurs intelligents sans fil qui peuvent mesurer tous les paramètres intéressants pour une meilleure gestion de la ville. Toutes les données sont transmises en temps réel aux citoyens ou aux autorités concernés.
Les applications sont donc multiples et ne cesseront de se développer en fonction des nouveaux usages qui verront le jour :
Surveillance du niveau de pollution dans chaque rue de la ville
Réception d’alertes lors de l’atteinte d’un certain niveau de radiations
Optimisation de l’irrigation des parcs ou de l’éclairage de la ville
Détection des fuites d’eau
Réalisation de travaux en fonction des cartes dressant l’état de la pollution sonore
Contrôle du trafic routier et modification dynamique de l’éclairage urbain
Réduction du trafic à l’aide de systèmes détectant la place de parking la plus proche.
Contrôle en temps réel de l'occupation des places de stationnement en dépassement en zone bleue, optimisation du stationnement payant, contrôle de dépose-minutes, surveillance de places spécifiques (Livraison, ambulance, pompiers…)
...
Il n'y a pas de limites aux applications possibles !
Cadre conceptuel
S'agissant d'une discipline encore récente (les premières mentions datent de 2008), plusieurs modèles différents coexistent. Peu importe le modèle retenu, l'essentiel est de couvrir les différentes fonctionnalités d'une solution.
Les différentes études s’appuient généralement sur un cadre conceptuel composé de différentes couches, chacune d’entre elles faisant intervenir des parties prenantes avec des modes de financement et d’exploitation particuliers.
L’un de ces modèles propose, par exemple, un découpage en quatre couches :
Couche Capteur : elle est utilisée pour collecter des informations contextuelles avec des systèmes de détection. Les capteurs se surveillent en temps réel et agissent avec leur propre intelligence. Ils peuvent être utilisés pour surveiller les infrastructures publiques et les activités physiologiques de l’homme, collecter des données et les envoyer vers un système central d’informations (couche réseau) qui les analysera pour prendre des décisions intelligentes. La couche capteur est constituée d’un ensemble de capteurs sans fil tel que des étiquettes et lecteurs RFID, des caméras, GPS, des balises et lecteurs de QR Code...
Couche Réseau : chemin d’accès pour les échanges d’informations et le transfert des informations (accès au réseau et transmission). La transmission réseau utilise tous les moyens de communication, publics et privés incluant les lignes de communications classiques (fixe et mobile), les réseaux de TV, internet, les réseaux électriques, les réseaux privés (VPN)… en démarrant par les réseaux bas débit utilisés pour la communication entre capteurs (IoT) et pour lesquels plusieurs opérateurs tentent d’imposer leur standard (Sigfox, Lora…)
Couche Plate-forme : en charge de la coordination, la gestion, le stockage, l'analyse, l'exploitation… des données. Cette couche comprend également tous les services aux prestataires et aux utilisateurs, les fonctions de gestion des infrastructures, la gestion de la sécurité des informations…
Couche Application : ensemble de solutions qui combinent l’internet des objets (IoT) avec les services informatiques pour réaliser un service intelligent à grande échelle. Avec cette couche d'application, une ville intelligente peut réaliser l'intégration de la technologie de l'information avec les technologies de l'industrie. Sur la base des informations recueillies dans la couche Capteur, il est possible d’interpréter les phénomènes physiques et d’y apporter rapidement la réponse adéquate. Ces applications créent de nouveaux services, basés sur les données du monde physique récupérées en temps réel et permettent d'améliorer les infrastructures (énergie, transports, ...), d’augmenter l'efficacité de la gestion urbaine, de lutter contre la dégradation de l'environnement...
Qui sont les parties prenantes ?
Les gouvernements sont évidemment un acteur clé dans le développement des villes intelligentes. Ils permettent de donner une impulsion a des projets, comme le fit, par exemple, le gouvernement chinois en 2010. A la fin de 2012, la Chine compte déjà plus de 180 villes intelligentes !
Les villes intelligentes concilient innovation et développement, promeuvent une nouvelle urbanisation et mettent en avant une société du bien-être. Elles touchent des domaines qui restent dans la sphère d’influence des états : l'industrialisation, les nouvelles technologies, l'urbanisation et l'environnement.
Le monde industriel joue également un rôle crucial dans le développement des villes intelligentes. Les opérateurs de télécommunications et les entreprises des technologies de l’information sont les premières impliquées. Ils construisent ou modernisent les réseaux de communication mais mettent également en place des Entrepôts de données (généralement dans le Cloud). A cela s'ajoutent les entreprises impliquées dans l'Internet des objets (IoT et IIoT), le cloud computing, le big data, les réseaux intelligents, la data science, le design de nouveaux services…
Enfin, la société civile, au travers notamment des écoles et universités, des hôpitaux, les collectivités locales, la police... sont également impliquées dans le développement des Smart Cities. Ces acteurs construisent la ville intelligente de manière indirecte : ils coopèrent avec les gouvernements et les entreprises, pour obtenir de nouveaux produits et de nouveaux services dans une ville plus intelligente.
Où en est Gfi ?
Gfi déploie une offre sur l’ensemble de la problématique de la transformation digitale des collectivités territoriales. Intégrant le conseil en stratégie digitale, des solutions de dématérialisation des processus et de déploiement de e-services, l’irruption massive des objets connectés amène à ajouter à cette panoplie une expertise dans les solutions de collecte de données de millions de capteurs, puis de la valorisation des données dans des architectures Big data, allant jusqu’à la création de nouveaux services urbains, s’appuyant notamment sur des services d’accompagnement à l’innovation (Veille technologique, Fab lab, R&D collaborative).
Gfi a également noué un partenariat avec la société TCS pour proposer une offre Big Data /Analytics/ Modélisation prédictive autour des Smart Cities. Cette plateforme Intelligent Urban eXchange (IUX) est construite autour d’une plateforme Cloud en composants Open Source, qui peut être complétée par une solution d’interaction citoyenne « City Hub »
Cette offre a pour objectif de gérer les échanges urbains et permet aux villes d’accélérer leurs programmes de ville intelligente :
Plateforme urbaine couvrant les domaines tels que les transport, l’énergie, l’eau, les déchets…
Analyse avancée des données urbaines en temps réel
Applications urbaines préconstruites (comme celle de la planification des services d’autobus)
Modèles de données prêts à l’emploi
API permettant de connecter des applications partenaires et de tiers
Les applications urbaines intelligentes couvrent des fonctionnalités aussi diverses que :
Mobilité urbaine : Mobilité des citoyens, Trajets multimodes, Mobilité durable, Parking intelligent
Energie intelligente : Efficacité énergétique de la ville, Eclairage intelligent, Intégration des énergies renouvelables, Réduction des émissions de CO²
Services Publics intelligents : Gestion intelligente de l’eau, Gestion intelligente des déchets
Commerce Ville : Offre de géo repérage, Tourisme et hébergement, Localisation de commerces et d’entreprises
Open Gouvernance : interaction et collaboration avec l’ensemble des acteurs de l’ecosystème urbain
Lionel Bry, le Global Practice Manager de cette activité, consolide cette offre et travaille en collaboration avec Jean-François Penciolelli, Responsable du Secteur Public ainsi que Laurent Leenhardt, Responsable de la Branche Software, Jean-François Gaudy en charge de l'Innovation et Antoine Gayon Directeur de Business Développement Smart City France, pour promouvoir nos offres (comme ce fut le cas lors du Forum du Secteur Public qui s'est tenu les 22 et 23 septembre) et répondre aux demandes de nos clients.
BPR Challenge
VIGISIRI : dernière ligne droite !
Le challenge de développement de la Branche Production démarre bientôt. Les épreuves se dérouleront sur tous les sites de la BPR, en simultané et sont ouvertes à tous les collaborateurs de la BPR, toutes Factories confondues, de 11h à 15h, heure française :
Le vendredi 07/10/2016
Le vendredi 04/11/2016
Le vendredi 06/12/2016
Plusieurs équipes sont déjà inscrites, mais il est encore temps d'en constituer de nouvelles (particulièrement à Meudon et Bellini !). Les équipes de testeurs ayant souhaité se joindre au challenge, une place leur est réservée : les équipes pourront donc comprendre 5 membres dont un testeur.
Rappelons que :
- Le déjeuner est offert aux participants sur les 3 jours de compétition
- Plusieurs prix sont prévus avec notamment pour les vainqueurs : un cadeau pour permettre à l'équipe de se retrouver ensemble dans un cadre convivial (après l'effort, le réconfort !) et un prix pour chacun des membres de l'équipe.
Bonne chance à toutes les équipes !
Inscription au Challenge BPR
Le formulaire d'inscription des équipes est toujours disponible sur https://delivery.gfi.fr/confluence/display/FORM/Challenge+NTIC
Welcome Meeting in Alicante
Welcome !
A first session of welcoming new employees was held on September 14, 2016. It brought together employees arrived this summer. Trinidad Sepulcre, Jorge Frances and Paulo Monteiro presented :
- Main figures of Gfi Group, Gfi Spain, BPR and CS Alicante
- the organization in Spain and our main "internal customers" (meaning the BU Managers and sales teams we work with on our projects in Spain, more particularly the teams located in Madrid for Bankia, Telefonica... and Barcelona for HotelBeds, UMH...)
- the employees support policy, training, career management...
- the main tools available on the website and intranet of Gfi
The remarks made by the attendees after our presentation will be used to improve this meeting.
Such welcome sessions will be repeated in the future depending on new arrivals.
DevOps - Episode 3
Compétences et Autonomie
Deux grandes qualités sont indispensables au succès des équipes DevOps : la compétence et l’autonomie.
La compétence couvre avant tout une expertise fonctionnelle doublée d’une solide expérience métier (usages), puis une expertise technique (architecturale, technologique, méthodologique) couvrant toutes les étapes d’un cycle de vie applicatif.
Cette amplitude de connaissance et cette durée, font que les équipes DevOps sont en général constituées pour longtemps, ce qui contribue à l’augmentation de leur savoir-faire, à la cohésion et à la solidarité de ses membres. Ceci permet aussi de gérer simplement la continuité de compétence, l’intégration ou le départ d’une partie des membres, dans une logique d’immersion et d’auto-formation.
L’autonomie est nécessaire pour que l’équipe puisse faire face à toute situation. Elle relève à la fois du cadre de délégation de responsabilités donnée à l’équipe (mais à un moment donné, il faut bien un leader qui assume !) et des moyens qu’elle peut engager pour remplir sa mission (le niveau de prise de décision sur les priorités, les budgets, les choix, …).
En général, les équipes DevOps doivent gagner leur légitimité et leurs droits (autorités) à la force de leurs résultats et de leurs devoirs accomplis et reconnus. La dimension communication entre l’équipe et le reste du monde est donc fondamentale, pour faire savoir.
Tribu
Il n’y a pas de vocabulaire consacré pour désigner une équipe DevOps. Lorsqu’il est nécessaire de la distinguer des autres équipes, le terme le plus utilisé est celui de « Tribu » qui traduit bien cette particularité attendue d’autosuffisance, tout en laissant la possibilité d’avoir plusieurs tribus différentes pour des domaines applicatifs différents.
Les plus grandes équipes DevOps peuvent atteindre plusieurs centaines de personnes. Le principe de périmètre fonctionnel permet un découpage en équipes de taille gérable. Il va de soi que dans de tels contextes les outils sont conçus pour supporter à la fois cet important parallélisme et une synchronisation parfaite des mises en production.
Les équipes DevOps sont à l’opposé des organisations du travail taylorisé. Elles démontrent tout autant de productivité mais les modes de fonctionnement temps réel des équipes DevOps sont plus efficaces que les processus en terme de Time To Market et en terme de plaisir pour les collaborateurs (opérations moins répétitives et sentiment d’accomplir quelque chose avec une vue d’ensemble).
Kanban
Une équipe DevOps se pilote par sa capacité (finie), c’est-à-dire :
- la quantité de choses qu’elle est capable de faire en parallèle à l’instant T
- et l’intégrale que cela peut représenter sur une période de temps donné (échelle trimestrielle ou annuelle en général).
Sur cette base, il est facile de créer dans une organisation, équipe DevOps avec un budget (dépenses et masse salariale) et des objectifs de production (en général mesuré par des indicateurs de vélocité et de rythmes de changement).
A l’intérieur de cette enveloppe tout peut varier en fonction des événements qui impactent le cycle de vie de l’application et d’une analyse de priorité permettant d’ajuster les délais de chaque tâche en fonction de priorités partagées par tous. C’est le principe de KANBAN.
Les rôles sont souvent les même que pour des équipes projet habituelles, mais avec beaucoup plus de flexibilité des collaborateurs (multitâche rendu possible par les compétences croisées) :
- Les analystes métiers : ont des compétences fonctionnelles fortes et sont capables d’interpréter les besoins en termes de solution/produit et de définir des priorités. Ils sont une fusion des rôles d'« application owner », d'AMOA, de business analyst
- Les développeurs : ont des compétences technologiques pointues qui modélisent et/ou créent le code et en garantissent le fonctionnel, la qualité, la sécurité, les performances et … l’utilisabilité ! Ils sont une fusion des rôles de développeurs, de concepteurs, d'experts base de données, d'experts en langages et framework de développement.
Rôles spécifiques au DevOps
En-dehors des rôles classique, des rôles plus spécifiques à DevOps viennent compléter le dispositif :
- Le coach DevOps. C’est le chef d’orchestre de l’équipe. Son rôle n’est pas tant de commander que de rendre les choses possibles et s’assurer que l’équipe arrive à s’autogérer. C’est évidemment aussi, le point de communication vis-à-vis du reste du monde: un évangéliste convaincu et convainquant.
- Le Tech Leader. Passionné de technologie et féru de langages et de frameworks, il apporte à l’équipe, à la fois l’innovation nécessaire et un cadre d’utilisation professionnel de l’ensembles des technologies, méthodes et outils nécessaires. Ses compétences en architecture lui permettent d’intégrer toutes les dimensions d’exploitation et de coût de possession de l’application.
- Le développeur d’infrastructure. Il est en charge du système pour faire, des outils de fabrication, de l’ensemble des forges et de leur intégration, des procédures d’utilisation des outils et des automatisations de tout ce qui se répète sans valeur ajoutée. Son autorité couvre la chaîne outillée, mais aussi les agrégats qu’elle transporte à tous les stades de l’ingénierie logicielle ; en particulier ce qui permet une gestion de configuration sans faille. Pour finir il est le régulateur du processus DevOps au travers de son suivi continu et de son analyse des boucles de contrôles que sont les outils de Capacity Planning et de User Experience.
Tous connaissent et pratiquent les méthodes de leur contexte : Agilité, Intégration et Déploiement Continus, Testing
Tous se partagent les tâches de support aux utilisateurs (hot-line entre autres) et le correctif des anomalies ; ce qui permet à toute l’équipe de bien prendre conscience du niveau de qualité perçue qu’elle produit et en général la motive pour trouver des solutions et ainsi diminuer le volume de ces tâches moins valorisantes.
A ce jour, il n’existe pas de formation DevOps (autre que la théorie sur les principes des méthodes Agile, Intégration et Déploiement continus).
Le Marché est pourtant demandeur de nombreuses Tribus dont l’essaimage naturel ne permet pas de couvrir les besoins.
Pour répondre à ces besoin, Gfi Informatique va donc créer un cursus DevOps centré sur ces 3 nouveaux rôles et appuyés sur une pédagogie d’expérimentation et de coaching.
FAQ
Pour clore cet épisode Devops consacré aux métiers et aux compétences, voilà les questions les plus fréquentes et quelques réponses :
Les contrats de travail des profils DevOps sont-ils différents ?
- A priori non, mais les différents collaborateurs (qui partagent tout !) sont soumis à des contraintes particulières qui posent questions. Est-il possible que les développeurs de l’équipe DevOps n’aient pas d’astreintes alors qu’ils doivent assumer leurs actes de mise en production ? Sur quelles bases faut-il organiser l’équipe pour qu’elle couvre les mêmes plages de disponibilités que les utilisateurs finaux (qui sont souvent mondiaux) ?
- Dit autrement il faudrait uniformiser des contraintes pour la Tribu et sans doute une organisation du travail plus autogérée par la Tribu qui doit à la fois assumer ses devoirs et créer des conditions d’épanouissement pour chacun.
Est-il possible de constituer des équipes DevOps distribuées ?
- Si cela sert à quelque chose ! Rien ne s’y oppose dans la mesure où les outils le permettent sans difficulté. Mais un modèle distribué est plus complexe : ce n’est donc pas un modèle à retenir pour démarrer. Si l’idée est de transformer des équipes actuellement en FO/BO, il est peu probable que cela fonctionne, compte tenu des séparations de tâche et des relations client fournisseurs qui ne sont pas du tout dans l’esprit DevOps.
- Le fonctionnement d’une équipe DevOps n’est pas Brownien. Il est piloté en temps réel par Kanban qui tient compte des savoirs faire de chacun dans l’affectation possible des tâches. En général, un podium des succès est mis en place. Il mesure le nombre de succès de chaque collaborateur pour une activité donnée. Cela permet de donner aux plus performants les sujets les plus risqués, tout en laissant la possibilité à chacun de réussir à son tour sur des tâches moins risquées.
- D'autre part, il ne faut pas oublier le rôle de coach : son intérêt premier est de connaitre et augmenter la performance de sa Tribu.
- Le même type d’outils est utilisé pour comparer plusieurs Tribus entre elles et décider de croisement de certains profils en cas de nécessité.
Les équipes existantes sont éloignées techniquement et culturellement d’une cible DevOps. Comment traiter cette transformation ?
- C’est un vaste sujet, qui dépend beaucoup des possibilités de flexibilité du travail et de reclassement. C’est plus simple pour les profils DSI et pour les ESN, dont les turnovers permettent une rotation naturelle des employés. Ce volet RH est plus complexe pour les rôles directement impactés par les automatisations (MEP, RUN), la réduction des couches intermédiaires (AMOA) et l’inadaptation de la plupart des managers.
- Généralement, seul 1/3 des effectifs existants peut basculer vers une démarche DevOps (les deux autres tiers restent donc sur des activités hors DevOps). Pour compléter le dispositif, l'équivalent d'un autre tiers est constitué de nouveaux recrutements. Partant de la base d’une Organisation traditionnelle, DevOps permet donc d'atteindre le même résultat avec moins de monde. Cela signifie aussi que les sociétés qui décident d'adopter ce type d'approche doivent trouver de nouveaux débouchés pour leurs salariés qui ne sont pas capables de suivre de mouvement.
Est-il possible de quitter DevOps ?
- Les équipes DevOps ne le souhaitent généralement pas et si elles sont bien impliquées trouveront les solutions pour que cela marche. Les mises en place sont souvent longues, car il faut du temps pour gérer l’humain, les habitudes, s’outiller... Passé cette phase, les gains sont toujours là et cela suffit à empêcher tout retour arrière.
Après Agile, il y a DevOps, massivement utilisé par les sociétés technologiques, qui du coup, captent toutes les ressources. Et ensuite ?
- L'étape suivante est le NO OPS !
Matinales
Matinale de Lyon
Elle a été l'occasion de faire un premier bilan de l'installation dans les nouveaux locaux (principalement des éloges pour un site qui peut postuler au concours du site Gfi le plus agréable, le plus convivial, le plus fonctionnel, le plus beau...).
Elle a aussi permis de répondre aux questions d'actualité : l'annonce de la nouvelle organisation de Gfi, les prévisions de nouvelles affaires à Lyon, le Challenge de développement organisé au dernier trimestre 2016...
Matinale de Lille
- les changements d'habitude de travail liées aux normes ISO27001 et aux contraintes des OIV : OWASP n'a plus de secret pour certains des convives qui se feront un plaisir d'initier leurs collègues
- les relations avec nos clients "préférés", tantôt agréables, constructives et enrichissantes, d'autres fois plus en nuance voire franchement détestables
- les difficultés rencontrées et les moyens utilisés pour partager les connaissances ou se former à de nouveaux outils
- ...
La discussion s'est aussi portée sur le Challenge de Développement qui sera bientôt lancé. Les dernières équipes se constituent et seront prêtes à relever le défi !
Osaône à Lyon
Les collaborateurs de la BPR, jusque là basés à Charbonnières les Bains (dans la banlieue lyonnaise) se retrouvent ainsi au coeur de la ville et à proximité de leurs clients internes : les BUs AS et IS.
Ces nouveaux locaux, profitent des expériences acquises lors de l'ouverture des précédents sites à Meudon et à Lille 2. Les salariés disposent ainsi de nombreuses salles de réunions de toutes tailles, de belles cafétérias, des bureaux spacieux et bien agencés, de cloisons utilisables comme tableau blanc : des bureaux calmes, très lumineux et bien protégés sur le plan phonique.
Ces bureaux constituent donc un cadre de travail exceptionnel appréciés par tous !
Nouvelles Affaires
Dossiers en cours
Le hub d'Alicante connaît une croissance très importante depuis le début de l'été : le projet Telco 3.0 pour Telefonica est prolongé sur tout le second semestre et l'équipe passe de 23 à 33 personnes. Dans le même temps, les projets HotelBeds, Bankia, Chronotime, Cleva...connaissent tous une croissance.
Par ailleurs un nouveau projet d'une petite dizaine de profils php est signé en septembre et le projet SATIS pour le Ministère Français de la Culture et de la Communication est transféré de Bellini à Alicante. Un effort important de recrutement est donc nécessaire pour recruter plusieurs dizaines de nouveaux collaborateurs.
Certains dossiers traités avant les congés n'ont toujours pas abouti :
- EDF / RFQ TCO MCO (1,1 M€)
- Conseil Régional du Rhône Alpes / TMA .Net (1M€)
- Ministère de la Justice / Portalis (0,5M€)
D'autres traités à la rentrée sont également en attente :
- Projet de migration pour Generali
- Dossier Phenix pour Renault.
Enfin de nouveaux dossiers sont en cours de traitement :
- EDF : TMA Gaz
- BNPP : Projet Phenix (encore un !)
Appel à contributions
Vous voulez partager une information, une passion, un sujet susceptible d’intéresser vos collègues des deux Factories NTIC ? Qu’il s’agisse d'une expérience professionnelle ou d'une passion personnelle, envoyez vos contributions à vos PM et elles seront partagées dans une prochaine NewsLetter.
Merci
Archives
Vous avez manqué une précédente édition de la NewsLetter ? Retrouvez-les sur les liens suivants :