LE BULLETIN QUOTIDIEN
Nous payons tous pour votre addiction
Notre société paye un prix cher pour la dépendance, à différents niveaux (financier, physique, mental). Néanmoins, il y a toujours des ressources disponibles pour les adolescents et les adultes au sein de leur communauté, où ils peuvent chercher de la traitement pour prévenir et arrêter la toxicomanie.
Avec la dépendance, vient de nombreuses conséquences. De nombreuses parties de villes deviennent un refuge pour les sans-abris et pour la découverte de corps morts. Les corps sont envoyés dans des hôpitaux et des morgues, tous les jours. Beaucoup de gens doivent souffrir dans le chaud et le froid, avec peu d'argent ou de la nourriture; survivant selon les ordures et commencer la création de déchets qui doivent être nettoyées et repris par la ville.
Des toxicomanes ont généralement la tendance à introduire d'autres (amis, famille, étrangers) à leur dépendance. Une fois qu'ils deviennent introduit, il y a de fortes chances qu'ils deviennent dépendants aussi. Cela se continue à aller sur une sorte de réaction en chaîne. Il coûte beaucoup d'argent pour avoir une dépendance, en particulier une fois que vous introduit des autres personnes à elle. Ils vont devoir commencer à générer de l'argent pour remplir leur addiction aussi.
Voici quelques façons que les adolescents pourraient recevoir de l'aide au sein de leur communauté:
•Les Alcooliques Anonymes; www.ottawaaa.org (613-237-6000)
•Al-Anon; 163 Rue Bell (Nord)
•Rideauwood; 312 Avenue Parkdale
Chère Marie Claude
-Inquiète à Iroquois Falls.
"Ma meilleure amie agit différemment ces jours-çi et je commence vraiment à capoter avec inquiétude. Elle ne veut plus sortir magasiner comme avant, elle me dit qu'elle ne dort pas bien depuis quelques mois et elle se fache vite. Je crois qu'elle est peut-être déprimée, mais j'ai peur de lui en parler car elle sera furieuse. Y a-t-il d'autres signes avertissants que je pourrais observer? Est-ce que je devrais en parler à quelqu'un d'autre? Dites moi cmment je peux l'aider- vite!" -Inquiète à Iroquois Falls.
Une conversation sur la dépression est toujours le plus difficile à avoir, mais il est en fait très avantageux pour vous et pour votre amie. Je suggère tout de suite que vous devriez parler à un parent, un collègue, un ami, un médecin, n'importe qui. Mais assurez-vous que la maladie mentale de votre amie est addressée tout de suite, pour qu'elle peut en avoir de l'aide.
Votre ami montre déjà de nombreux signes de la dépression. Certaines autres signes inclue la tristesse prolongée, la retrait des ami(e)s et famille, donner nos objets préférés, l'utilisation de drogues ou d'alcool, l'abaissement des notes scolaires, une manque d'énergie, et pleins d'autres.
Il est important que vous parlez à votre ami de vos inquiétudes et vos sentiments. Une fois que vous lui parlez, assurez-vous que vous écoutez, l'offrez de support emotionnel, ne fait pas des accusations ou diminuer son estime de soi, et trouver de l'aide pour elle la plus vite que possible. Après tout, il est préférable de perdre une amie, mais elle se reste vivant, que garder votre relation avec elle, mais elle se fait suicider.
J'espère que cela a aidé, et s'il vous plaît parlez à votre amie. La dépression est une maladie mentale, pas une phase de votre vie.