Parcours Charisme Durable
Octo - 2015
Description du parcours
- Pour chaque Octo: De s’approprier une palette de «relevant soft skills» au point d’en faire des réflexes.
- Pour l’équipe: De vivre une aventure collective qui nous renforce
Moyens mis en oeuvre pour arriver à l'objectif
- 15 ateliers de 2h à base d'impro, d'outils théoriques et de mises en situations
- 30min d'entretien individuel de fixation d'objectifs (après le 3ème atelier)
- Hotline 5j/7 - Vidéos E-learning et documents On-line
Email: olivier.bettach@nextlevelformation.fr
Website: www.charisme-durable.fr
Phone: 0619816113
Twitter: @OlivierBettach
Le triple A: l'ADN du parcours
Atelier#14: training impro + JDR
-Ceci est un chat
-Lay di lay
- Impro doublage
- triple Dub
- Impro avec les consciences en voix off
- Assis, debout, penché
- Transneuronnes express (3 histoires en une)
BRAVO!!!!!!!
Mises en situations perso: bravo aussi:
"Ce que tu dois savoir déjà tu le sais" Maître Yoda
Atelier #13: Status et matrice de vente
- Marche status
- Soirée avec équipe A et équipe B
- Départs d'impro avec Status
- Mafia/ héritage, etc.
- Super-pouvoirs cachés
A retenir: même si c'est rarement aussi prononcé qu'en impro, la notion de "status" est partout dans les rapports pro => Les identifier est un vrai plus pour tenter d'être au maximum en +/+, qui revient au "middle status".
Outil du jour: la matrice d'efficacité commerciale de Gérard Baillard (cf vidéo)
Mises en situations:
Attention à ne pas être low status: vous êtes là pour challenger vos clients sur leurs décisions=> ils connaissent leurs problèmes mais pas forcément leurs solutions.
A lire : fiche 8, avec les exos!
Atelier #12: la précision (by Nathalie)
- marche avec douleurs précises
- guide d'aveugles
- statues
- téléphone arabe de gestes
- Conférence de presse
Puis:
- Dictée aveugle de dessins
- Objectifs SMT
Les exercices de la fiche 7 du livre sont un très bon complément de cette séance!!! Faites-les!
Atelier #11 - Impro + JDR perso
- marche / photos
- mots associés
- Bonjour / bonjour/ qu'est qu'il a dit?/ rien
- Exercice du Pont
- le boulet
BRAVO: vous avez appris à improviser => utilisez maintenant cette énergie, cette posture dans la vraie vie pour oser vous affirmer, vous planter parfois en l'assumant, vous ouvrir et travailler l'acceptation et la posture d'utilité.
Mises en situations perso:
Bravo aussi, chacun sur ses chantiers:)
Atelier #10- PPP en live
BRAVO!!!
A retenir: il n'y a pas de posture unique en PPP => l'enjeu est d'être aligné avant de rentrer en scène => la préparation interne est fondamentale pour déceler les pensées parasites du type:
- Il faut faire l'expert, le passionné, etc... parce que ça fait bien
- Je ne suis pas à 100% d'accord avec ce que je raconte mais bon, je dois le faire
- Il faut pas que je me loose, je vais faire ça vite fait et après ça sera fini
- etc.
Pour aller plus loin (ou pour préparer votre prochaine PPP):
- Fiche 10 sur les postures
- Fiche 12 sur le stress avant la PPP
- Fiche 16 sur le storytelling
- Fiche 17 sur comment faire de beaux slides
Atelier #9: Prise de parole en public
J'accuse!
Et voici...: Discours imposés avec émotions imposées
Le curseur
Ce que l'on retient: dans une PPP, je dois arrivé déjà chargé en +/+. Pour trouver ce 1er + de l'affirmation, il faut avoir une trouvé une source d'engagement (motivation, plaisir) fiable et authentique. Cela se fait en amont.
Outil du jour:
Les 6 orateurs: (cf ci-dessous). Me raccrocher à quelques archétypes universels de PPP peuvent m'aider à trouver une source d'engagement.
Pour préparer une PPP, voici une démarche payante:
- Qu'est ce que je veux véhiculer comme message? En gros: Si un membre du public devait résumer en 3 phrases ce que j'ai dit à un collègue, qu'aurais-je envie qu'il raconte?
- Quel est la posture oratoire la plus utile au public et à mon message?
- Quel est mon niveau d'énergie, motivation, plaisir, par rapport à cette posture (Si l'étape d'Acceptation est naturelle; BANCO. Si elle ne l'est pas, le "fun to fail" de l'impro, la posture d'utilité devrait lever certains freins. Si l'inconfort est lié à valeurs personnelles (Ex: faire l'expert reviendrait à mentir car je ne crois pas moi-même aux données que j'apporte), là je dois prendre une décision pour éventuellement changer mon message et revenir à l'étape 1).
- Je prépare ma présentation en fonction des trois 1ères étapes: slides, anecdotes, chiffres, exemples et métaphores, etc.
Cette checklist de préparation diminue considérablement les risques de véhiculer une mythologie négative. Elle pousse à l'alignement, à la cohérence, et donc au charisme.
Pour mardi prochain: préparez une prise de parole de 5"
Fiches du livre sur la PPP: La 10, la 12, la 16 et la 17.
Atelier #8: Négo raisonnée Part 2
Impro:
- Mots déclamés
- Départ d'impro
- Exercice sur les options (le chef de chantier)
Cas Sally Soprano:
Vous avez tous joués sur au moins une variable; comme un salaire variable en fonction de la fréquentation => Bravo!
On peut aller encore plus loin en posant encore plus de questions pour être encore plus gourmands:)
Atelier#7: Négo raisonnée - Part 1
Les 5 outils de la négo raisonnée de Harvard
Le but de cette méthode: dépassionner séparer le problème de la relation. Il faut être DUR avec le problème et DOUX avec la relation.
- La posture en Négo est la même qu'en Impro: je dois tout faire pour faire converger, si je me centre sur mes positions uniquement, j'arrive à des accords lose/lose.
la seule différence avec l'impro: en impro, il y a toujours une solution pour satisfaire les "intérêts" des parties. En négo, je dois mettre une grande énergie pour faire converger, mais le non-deal reste une potentialité absolument essentielle (sinon, plus de rapport de force!).
Le mythe du killer en négo est un mythe justement. Les killers passent à côté des meilleures opportunités et créent des conflits. Les négociateurs trop doux passent aussi à côté des bons deals et se font avoir.
Pour ceux qui n'étaient pas là (et les autres), voici un article qui résume les choses:http://www.charisme-durable.fr/le-mythe-du-killer-en-nego/
Sinon, la fiche n°4 du livre reprend les mêmes idées.
La leçon du cas: les critères objectifs sont de bien meilleurs arguments que le marchandage.
Attention au danger du bluff: si je m'invente une BATNA, je suis après bloqué pour descendre plus bas.
Cas n°2: Les Rosiers, ou la tentation de se mettre en danger par manque d'audace.
Pas de Zone d'accord évidente. La seule manière de sortir Win/Win est de recourir à des options (jardin à céder à des voisins, différer le paiement, copain pour les travaux, etc) MAIS le cas est bien fait: l'acheteur PEUT théoriquement se mettre en danger au delà de ses intérêts (en allant chercher de l'argent à des taux usuriers) ET le vendeur peut aussi se mettre en danger (en emménageant dans le Sud dans un taudis).
La leçon du cas: La recherche d'Options ne vient pas en dernier recours, quand la zone d'accord est inexistante: les options permettent de gagner plus, même si il y a une zone d'accord => ça reste une négo, soyez gourmands!
Atelier #6: Dire NON, dire OUI mais proprement et sans regrets
- Marche OUI et NON
- Exercice du "Plus!!!"
- Moi vouloir ça!
- Départs d'impro avec posture de "tout NON", de "tout OUI", et de "oui ET" qui est la posture gagnante.
- Cercle où l'on décale le geste de l'autre: posture de "NON et".
A retenir:
- Le tout NON casse le dialogue / le tout OUI casse la motivation et frustre celui qui ne s'affirme plus => Seuls les "NON et " et les "OUI et" créent des histoires (càd des relations) équilibrées et riches.
Pourquoi c'est difficile de dire NON:
- Je ne sais pas ce que je veux
- Je ne me sens pas légitime à vouloir ce que je veux
- Je n'ai pas envie d'être rejeté(e)
- Je n'aime pas le conflit
- Je ne veux pas être celui ou celle qui va tuer l'aventure
- Je suis engagé: "j'ai pas fait tout ça pour m'arrêter là!"
- Le rapport de force n'est pas en ma faveur
cf exos plus bas.
Ce que l'on retient:
1/ Il faut être au clair avec son envie, son désir, sa contrainte, son émotion: FAIRE PAUSE et demander un délai si on est pas au clair.
2/ Dans la quasi totalité des cas, votre vraie raison pour dire NON n'est pas "honteuse" et tout à fait avouable et entendable par votre interlocuteur => La vérité est votre meilleure arme sauf si la raison vexerait l'autre par exemple ou l’embarrasserait beaucoup.
3/ Si je décide de dire NON; la phrase : "j'ai besoin de" est vraiment conseillée: "Je ne peux pas t'accompagner samedi matin chez Ikéa car je suis très fatigué de la semaine et j'ai BESOIN de me reposer".
4/ L'idéal c'est le "NON et/mais":je ne peux pas faire ça mais je te propose ça. Ou encore: comprendre le vrai enjeu de l'autre derrière sa demande pour voir si on ne peut pas y répondre par une autre manière (anticipe un peu sur les 2 séances futures sur la négo).
Mon conseil pour progresser: entrainez-vous avec les exos ci-dessous en cliquant sur le lien + sondez et exprimez vos besoins au moins 5 fois par jour (c'est comme les fruits et légumes).
Atelier#5: La posture d'écoute - les messages difficiles
- Marche avec prénoms tournants + pif paf pouf
- Les séries (toi, toi, toi)
- Contes à plusieurs
- oui ET
A retenir: la posture d'écoute est un état très particulier. Une clé importante consiste à switcher vite dans cet état quand c'est nécessaire => entrainez vous!
Les quelques règles d'une communication assertive:
- Messages "je". (le tu, tue).
- Précision, critères objectifs
- Nommer son émotion, son besoin, son désir, sa contrainte, plutôt que de la faire sentir OU de la masquer
- Se montrer ferme mais positif
- Eviter les "on m'a dit" et toute généralité
Outil de recadrage et transmission des messages peu agréables: le DESC.
Ce que l'on en retient:
D: On évite les généralisation "toujours", "jamais", les approximations: "l'autre jour", "souvent", "on m'a dit". On reste précis, factuel: les faits doivent être Imparables.
E: Exprimer son sentiment, ce qui ne va pas - Messages "je". On nomme sa vraie émotion, sans aller chercher une émotion fabriquée du genre "je suis surpris" pour dire je suis en colère.
S: Solution concrète, actionnable vite (Avec une implication de l'autre dans l'idéal même si ça n'est pas toujours possible).
C: Conséquences positives: on repasse dans l'émotionnel.
Mais surtout, ce que l'on en retient: Le verbal fait 10% du job, la posture "+/+" 90%.
En clair, si je suis assertif, càd que je critique ce que la personne a fait mais pas ce qu'elle est, je peux en réalité m'affranchir de l'ordre du DESC (sauf en face d'une personne de mauvaise foi).
Les outils rhétoriques sont des béquilles lorsque l'énergie du "+/+" ne vient pas naturellement.
Pour creuser: lire la fiche 3 et faire les exos
Atelier #4: Les 3 états du Moi
Impro:
- 1,2,3: j'me suis planté!!!
- marche avec un animal mutant
- Pourquoi la chouette est bleue?
- Discours perturbé par des objets
- L'alibi: répondre du toc au tac et développer sa répartie: "Et bien justement!"
- Zapping objets
A retenir:
Improviser m'oblige à me décontracter car le rapport à l'erreur inhibe toute créativité.
Et ça marche! Si je lâche prise vraiment, ma performance augmente.
Pour autant, même si le lien entre décontraction et performance est prouvé intuitivement, empiriquement et scientifiquement, se détendre et faire confiance à son intuition n'est pas naturel (et pas très français!)=> cela demande des efforts et du travail.
Outils:
- Les 3 Etats du moi en AT et la notion de transactions croisées (cf schéma et vidéos ci-dessous).
A retenir:
Analyser la communication humaine de manière systématique est très utile en cas de conflits car l'analyse = prise de recul = calme = performance relationnelle
Si je m’entraîne à identifier à partir de quel état du Moi s'exprime mon interlocuteur (et moi même), je peux maîtriser mes émotions et le ramener à être constructif (souvent en dépassionnant l'échange à partir de l'Adulte), ce qui est la base de la résolution de conflits en entreprise.
Fiche à lire: la 2, qui reprend toutes ces notions
Atelier#3: Le scénario - les drivers
- Marche avec prénoms tournants
- Dream machine
- Lay di lay
- Gromlo
Outil du jour: les drivers - cf photo
Mises en situations:
- Repérer les manifestations du scénario chez l'autre :
S'il est assez facile d'identifier l'inconfort chez l'autre, le plus dur est d'oser aborder le sujet et le traiter avec tact, avec des questions qui lancent des perches (pas obligatoirement ouvertes mais souvent) du type: "Comment te sens tu par rapport à ça?", "Comment vois-tu les choses?", "Qu'est ce qu'on pourrait faire si on avait une baguette magique?", etc.
IMPORTANT: je questionne pour comprendre, pas pour résoudre forcément.
Souvent, la personne est dans l'inconfort et la source est trop personnelle, voire même inconsciente à la personne elle-même: je ne suis ni mentaliste ni psy!
Je prends juste acte du fait qu'elle soit dans son scénario, càd que je ne prends pas au pied de la lettre tout ce qu'elle me dit et j'évite les discussions créatrices d'engagement pour l'avenir (car un engagement pris dans son scénario n'est pas "un choix libre" au sens de la théorie de l'engagement, il est bancal- cf expérience du ballon de l'atelier #2).
- Gérer mes propres manifestations scénariques:
- A partir de là je refais le film à l'envers: qu'est ce qui me gêne? Qu'est ce que je m'interdis et que j'aurais envie de faire si tout était possible? => A ce stade souvent, je trouve mon driver (mon injonction) => Je tente de le transformer en permission. Ex: le "fun to fail" est la permission du driver "Sois parfait", je m'autorise à être imparfait, faible, lent, à ne pas faire plaisir, à ne pas pas faire d'efforts et réussir quand même.
Plus j'ai d'expériences réussies (stokes) en dehors de mon scénario, et plus l'injonction s'évapore (et la manifestation qui va avec) => il faut plusieurs centaines de strokes pour déconstruire un chemin de scénario MAIS les occasions pour accumuler une "banque de strokes" sont partout et tout le temps!
Fiches du livre associées:
- Fiche 13 sur les manifestations de l'inconfort
- Fiche 12: sur l'expert interne, p123 et s.
Atelier #2: La pari du lâcher prise / la notion d'engagement
- Marche avec pif/paf/pouf
- Files indiennes d'experts
- Marche avec animal imaginaire
- Labyrinthe précis
- Personnages imaginaires (ogre, princesse, etc.)
Lâcher prise:
Objectif: dépasser nos freins internes, ceux qui nous empêche d'oser
- Phrases applaudies en cercle
- Qu'est ce que tu fais? avec réponse décalée
- Machine à mot: 1 mot déclamé chacun
- Associations d'idées, simple, puis double
- Rime/ mot qui rime
- Tu sais pas ce qui m'arrives?
- Finir des blagues
Ce qu'on en retient:
IT'S FUN TO FAIL!
- Je ne peux être créatif en impro QUE SI je lâche prise, càd si je prends le risque de commencer des phrases plein d'assurance sans savoir ce que je vais dire, mais en ayant confiance sur ma capacité à retomber sur mes pattes.
- Le nerf de la guerre n'est donc pas la créativité, qui ne se décrète pas, mais l'ENERGIE, qui peut se convoquer.
- La notion de lâcher prise est lié au plaisir de se jeter à l'eau. Pris comme un enjeu contraignant, il est impossible de se "lâcher".
Face à l’inconfort (externe ou interne d'ailleurs), il y a 2 possibilités: la sécurisation (posture fermée: le scénario), ou le lâcher prise (posture ouverte: l'assertivité).
Le jugement et le rapport à l'erreur encourage la posture fermée. Le plaisir, le "fun to fail" et l'envie d'être utile encourage la posture ouverte.
Le lâcher prise est un pari, mais dès qu'on y entre, on active de nouvelles ressources (cerveau droit).
Le lâcher prise est intimement lié à la notion de confiance: en soi, en les autres, en l'avenir. C'est pour cela que cette notion est au point de départ de notre parcours.
La théorie de l'engagement et l'effet de gel:
L'être humain adhère à ses propres choix. (expérience du ballon et de la plage).
Si ma motivation à improviser vient d'une injonction ("fais parce que tout le monde le fait" par exemple), je dépense beaucoup d'énergie pour une performance médiocre. A ce moment là je suis "dans mon scénario". Si au contraire je décide de m'y impliquer, de trouver une source de motivation est de CHOISIR D’ ÊTRE LA improviser devient un jeu, un challenge personnel: d'une je me fatigue moins, et de deux: ma performance est décuplée, presque malgré moi.
Pourquoi? : c'est l'effet de gel et la théorie de l'engagement: La source de motivation NE PEUT ETRE QUE PERSONNELLE pour être efficace. On parle de soumission librement consentie, ou de choix libre. Je ne choisis pas la tâche ou le projet que l'on m'assigne, mais ma source de motivation pour l'accomplir m'appartient. (non je ne citerai pas Florent Pagny une fois de plus...)
En bref: pour être en confiance, je dois m'engager pleinement, après avoir vérifier que j'ai une source de motivation solide pour le projet/ la tâche/ l'interaction concernée.
Autre outil: les 4 manifestations du scénario
Lorsque l'on est sous inconfort, on manifeste 4 types de comportements scénariques (voir vidéo Chirac/ Fabius ci-dessous + schéma). Ce sont des warning pour faire PAUSE et se poser la question: "Pourquoi n'ai je pas trouver une source d"engagement dans cette situation", "qu'est ce que je suis entrain de m'interdire inconsciemment" ?
Mises en situations:
Discours imposés / messages difficiles => Voici des situations souvent inconfortables: Rentrer dans l'interaction en ayant sécuriser une source d'engagement permet de s'affirmer en confiance (ce qui augmente l'influence du message). Cela demande quelques secondes: il faut s'autoriser à les prendre.
4 manifestations de l'inconfort
Effet de gel - théorie de l'engagement
Pour creuser: http://www.brocooli.com/introduction-a-la-psychologie-sociale-leffet-de-gel-et-lescalade-dengagement/
Atelier #1: La notion d'Assertivité - L'adaptation à l'autre
Assertivité= S'affirmer dans le respect d'autrui
Ça n'a rien d'inné dans les moments d'inconfort car c'est contre-intuitif => Ça se travaille comme un sport => Cette posture est la base de la performance relationnelle.
- Marche
- Lettres à 2
- Photos avec explication du AAA
Adaptation à l'autre:
- Le déménageur
- Départs d'impro
Ce que l'on retient:
- Le triple A ou la démarche de l'improvisateur:
- Puis j'accepte: je fais le deuil de la situation idéale et je vais puiser l’énergie, le plaisir et l'engagement pour optimiser ce qui existe
- Je m'adapte en cherchant à être utile
Plus je cherche, moins je trouve! Plus je me décontracte et accepte de me lancer sans savoir où je vais (fun to fail!), et plus les idées sortent d'elles mêmes.
Face à l’inconfort (externe ou interne), il y a 2 possibilités: la sécurisation (posture fermée que l'on appelle le scénario), ou l'assertivité (posture ouverte).
Le jugement et le rapport à l'erreur encouragent la posture fermée. Le plaisir, le "fun to fail" et l'envie d'être utile encourage la posture ouverte.
Le lâcher prise est un pari, mais dès qu'on y entre, on active de nouvelles ressources (cerveau droit).
Outils du jour :
1) Les 4 filtres de communication: Le modèle de Jung (Cf vidéo ci-dessous)
Attention, on possède tous les 4 filtres. Et on jongle avec en fonction des situations, de l'enjeu, et du stress notamment. Ce modèle s'intéresse donc à l'instant T et pas à qui est la personne en générale (de toutes les façons méfiez-vous de tout modèle qui "classerait les gens". La structure d'une personnalité est complexe): Le but de l"Analyse" (le 1er A) est de découvrir dans quel mode est mon interlocuteur au moment où je lui parle, et pas en général.
Mises en situations:
- 4 chats vendus sur le Bon Coin à quatre profils différents
- Situations réelles
=> On l'a vu, faire un AAA en live et s'adapter à l'autre est difficile: c'est pour cela que l'on va s'entraîner encore et encore!
En bonus: quelques vidéos et exos en lien avec notre sujet
Si vous avez le livre, RDV fiche 5.